C’est sur ce thème en lien avec mes recherches de thèse que j’interviendrai, le mardi 29 janvier à 10h30, au CNSMDP (salon Vinteuil), dans le cadre des journées doctorales du doctorat de musique CNSMDP/université Paris-Sorbonne.
En voici la mise en bouche :
Du goût et surtout du bon goût ! Voilà en effet ce qu’exige dans son entier la gente violonistique hexagonale au XIXe siècle, des interprètes aux auteurs de méthodes pédagogiques, des critiques musicaux aux observateurs de tous bords… Cette référence constante embarrasse le violoniste d’aujourd’hui, cruellement démuni face à cette notion fluctuante, dont l’évidence pour les contemporains a rarement poussé à un signalement circonstancié. Subséquemment : petit tour d’horizon des pistes glanées, tentative d’appréhension, réflexion sur le dogme musical transposé dans ses dispositions actuelles.